Littérature
Nos lecturesEn 1976, mon père a rouvert la maison qu’il avait reçue de sa mère, restée fermée pendant vingt ans.
À l’intérieur : un piano, une commode au marbre ébréché, une Légion d’honneur, des photographies sur lesquelles un visage a été découpé aux ciseaux.
Alors qu’elle tente d’élucider le destin d’un ancêtre banni par sa famille, une femme reprend l’histoire de sa propre vie. Des années auparavant, son mari, son premier et grand amour, lui a révélé être homosexuel. Du bouleversement que ce fut dans leur existence comme des péripéties de leur émancipation respective, rien n’est tu.
«De ces nuits et de ces vies, de ces femmes qui courent, de ces coeurs qui luttent, de ces instants qui sont si accablants qu’ils ne rentrent pas dans la mesure du temps, il a fallu faire quelque chose.
Au lendemain de la Deuxième guerre mondiale, un jeune bourgeois bordelais rencontre une jeune fille pauvre, apatride, fille d’une aristocrate germano-russe ruinée et d’un Géorgien bipolaire, disparu et certainement fusillé à la Libération.
Nell et Eva, dix-sept et dix-huit ans, vivent depuis toujours dans leur maison familiale, au coeur de la forêt. Quand la civilisation s’effondre et que leurs parents disparaissent, elles demeurent seules, bien décidées à survivre.
Il est des hommes est un roman noir, au sens où il ambitionne de dire quelque chose du monde social, de sa dureté, de sa folie, de sa barbarie. Un roman qui se confronte aux forces du mal, qui raconte l’enfance dévastée, l’injustice, le sida, la drogue, la violence dans une cité de Marseille entre les années 80 et 2000.
Aux confins d’une Europe bouleversée, alors que la révolution gronde, cinq jeunes se rencontrent autour d’une étrange menace. De Vienne à Odessa, de Kiev aux plaines de Sibérie, ils sont poursuivis par la police secrète et traqués par le Grand Cophte, bandit cruel et tyrannique.
Rubriques
A paraître
« Les belles promesses », dernier volet de la tétralogie « Les années glorieuses » de Pierre Lemaître. Ce quatrième roman signe la fin d’un cycle consacré aux Trente glorieuses et ouvert en 2022 avec « Le Grand monde ».
Alors qu’il circule de nombreuses images obscènes et violentes, force est de constater qu’il n’en existe aucune représentant un homme tué en application de la loi.
Depuis 86 ans, Simone Guillou habite à Barthon en Retz, sa ville natale. Veuve, elle vit désormais seule et la solitude la submerge. Un jour, la statue du crapaud posée devant chez elle disparaît. Etonnée, Simone l’est encore plus lorsqu’elle reçoit une carte postale signée par ladite grenouille.
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